tion, que les unes trouveront peut-être dictée par une susceptibilité exaltée, par une jalousie maladive, mais que les autres compareront peut-être à l’héroïsme de Rebecca demandant à Ivanhoe, pour unique grâce, la permission d’admirer sa fiancée lady Rowena.
Voici la lettre que reçut M. de l’Étincelle au bout de quarante-huit heures de réflexion qu’Odille lui avait fait demander :
- À M. de l’Étincelle pour M. B.
« Je comprends vos scrupules, Maurice, et je les respecte ; je comprends votre indécision, et c’est à moi de la terminer.
» Je vous ai demandé un jour de plus pour vous répondre ; mais ma détermination était déjà ce qu’elle est aujourd’hui : M. de l’Étincelle doit partir ; Maurice lui-même pourrait rester à peine. Vous l’avez bien dit : Dieu, dans sa toute-puissance, ne s’est point réservé de revenir sur le passé. Pour vous retenir, Maurice, auprès de moi, je voudrais d’abord effacer douze années entières de