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Page:Pierre Corrard - Les Opalines, 1908.pdf/74

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LES OPALINES


Oh ! je le garderai votre don précieux !
Si nombreux soient les ans que le destin me donne,
Tant qu’on verra jaunir, madame, des automnes,
Jamais je n’oublierai ce que m’ont dit vos yeux !