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Page:Pierre de Coubertin - Chronique de France, 1902.djvu/199

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viii

PARIS (Suite)

Si, par impossible, les rastaquouères venaient à se retirer de Paris, on serait surpris du nombre de lieux de plaisir, petits théâtres, restaurants, cafés-concerts qui péricliteraient et seraient bientôt réduits à fermer leurs portes. On serait surpris de voir en même temps combien peu la physionomie générale de la ville s’en ressentirait. Par ses dehors bruyants et l’importance apparente qu’il affiche, le monde du plaisir, à Paris, joue un peu le rôle de la mouche du coche. Beaucoup se persuadent qu’il est un facteur indispensable de la vie parisienne ; cela n’est pas.