En poissons frais : carpes d’étang et autres de
l’Isère, perches, tanches, brochets, barbeaux, truites,
poissons blancs du lac de Laffrey, vairons, grenouilles,
écrevisses, etc., pour une somme environ
de 500 livres.
En poissons salés : merluches, thon mariné, saumon
salé, anchois, sardines, soles marinées, morues,
harengs, anguilles salées, etc., pour 250 livres.
En provisions de Carême : prunes de Brignoles,
figues, dattes, capres, amandes, olives, châtaignes,
riz du Levant, etc., pour 100 livres.
En épiceries : sucre et cassonade[1], cannelle[2],
clous de girofle[3], pignons, oranges, poivre[4],
moutarde[5], noix muscades, gomme, anis, huile
d’olive[6], huile de noix, savon, raisins de Corinthe,
raisins Panses de Damas, miel, café, etc. 330 livres.
Les grains et le vin, achetés annuellement, figurent dans les comptes, année moyenne, savoir :
Blé-froment, 100 setiers, à 7 livres 5 sous le setier 725 livres.
Seigle, 100 setiers, dont une portion pour aumônes 500 livres.
Blé mécle, 50 setiers pour les pauvres. 150 livres.
Vin, 41 charges à divers prix 622 livres.
Autres provisions, achetées, outre celles étant le