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SOMMAIRE



Préambule : la vertu peut-elle s’enseigner ? Ménon le demande à Socrate, mais Socrate n’a jamais rencontré personne qui sût même ce qu’était la vertu (70 a-71 d).

Commencement de la recherche : qu’est-ce que la vertu ? Différentes sortes de vertus selon Ménon ; leur unité essentielle selon Socrate (71 e-73 c).

Première définition de la vertu en général par Ménon : c’est la capacité de commander (73 d).

Non, dit Socrate, c’est là une vertu particulière, comme si tu disais que la figure, en géométrie, c’est la rondeur (73 d-75 b)

Définition générale de la figure par Socrate, à titre d’exemple de la méthode à suivre (75 b-76 c), et définition de la couleur selon la manière de Gorgias, comme exemple à éviter (76 c-77 a).

Deuxième définition de la vertu par Ménon : le désir des belles choses joint au pouvoir de se les procurer (77 b).

Critique de Socrate sur la première partie de la définition (77 b-78 b) ; puis sur la seconde partie (78 b-79 e).

Intermède : Socrate et la torpille (79 e-80 d).

Reprise de la discussion : comment trouver une chose dont on ne sait rien ? (80 d-e).

Théorie de la réminiscence (81 a-e).

Vérification de la théorie sur l’esclave de Ménon, à qui Socrate fait retrouver les éléments de la géométrie, qu’on ne lui a jamais enseignés (81 e-84 a).

Remarques de Socrate sur cette partie de l’interrogation (84 a-d).