Page:Plutarque - Vies des hommes illustres, Charpentier, 1853, Tome 3.djvu/281

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qui, après sa captivité, eut le désir de vivre, ne sut ni se garder honorablement de la mort, ni la supporter courageusement : en s’abaissant à solliciter et à prier, il réduisit son âme même dans la dépendance de l’ennemi qui ne semblait maître que de son corps.


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