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NOTICE SUR HÉSIODE

Creuser et de Hermann, de Fr. Thiersch, de Twesten, d’O. Müller, de Welcker, de Klausen, de Nitzsch (les quatre derniers plus ou moins dans notre point de vue, auquel semble revenu à bien des égards Hermann lui-même, avec sa grande autorité, dans le 6e volume de ses Opuscules). Ajoutons les utiles recherches critiques de Müttzel De Emendat. Theogon., 1883, et de Lehrs, Quæst. Epicæ, 1837[1].




  1. Sans prétendre compléter cette liste par l’énumeration des nombreux travaux dont les poèmes hésiodiques ont été l’objet, il faut encore citer quelques noms ; Köchly, qui, suivant les traces de G. Hermann et de Gruppe, divise la Théogonie en strophes de trois vers et, par ce procédé bizarre, en réduit singulièrement l’étendue ; Marckscheffel, auteur d’une bonne édition critique des fragments ; Hans Flach, qui a publié en 1874 et 1876, une exposition du système cosmogonique d’Hésiode et une édition critique des Scholies de la Théogonie : enfin, et surtout, Gerhard et Schömann, pour leurs travaux critiques et leurs éditions.
    J. G.