Page:Poe - Eureka trad. Baudelaire 1864.djvu/251

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véritable symétrie de principe nous fait voir la fin de toutes choses métaphysiquement impliquée dans l’idée d’un commencement, nous fait chercher et trouver dans cette origine de toutes choses les rudiments de cette fin, et enfin concevoir l’impiété qu’il y aurait à supposer que cette fin pût être amenée moins simplement, moins directement, moins clairement, moins artistiquement que par la réaction de l’Acte originel et créateur.