Page:Poe - Les Poèmes d’Edgar Poe, trad. Mallarmé, 1888.djvu/130

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violettes qui sont là par myriades de types de l’œil humain — au-dessus des lys qui ondulent et pleurent sur une tombe sans nom. Ils ondulent : — de leurs odorants sommets d’éternelles rosées tombent par gouttes. Ils pleurent : de leurs délicates tiges les péren- nelles larmes descendent en pierreries.