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Page:Poe - Les Poèmes d’Edgar Poe, trad. Mallarmé, 1888.djvu/188

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versification peut-être inférieure à toutes et d’un concept moins frappant, ne semble à regretter. —

Nous dîmes alors — tous deux, alors — ah ! se peut-il que les goules des lieux boisés, les miséricor- dieuses goules pleines de pitié nous aient ainsi barré le sentier et soustrait le secret caché dans les bois — aient fait surgir le spectre d’une planète hors des limbes des âmes lunaires — de l’Enfer des âmes planétaires cette planète fautivement scintillante.

UN RÊVE DANS UN RÊVE

(Page 53)

A la fin de son livre sur Edgar Poe abondant en faits et en inductions, M. William Gill résume mélancoliquement toute la vie du poëte dans une des stances, celle qui commence par :