Page:Poe - Les Poèmes d’Edgar Poe, trad. Mallarmé, 1888.djvu/191

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BALLADE DE NOCES

(Page 61)

Lues par Poe, ces strophes laissaient dans l’esprit une empreinte ineffaçable, se souvient Mrs Whitman. J’ajoute qu’elles ont été très fréquemment mises en musique, et qu’on les chanta dans des concerts en Angleterre.

LÉNORE

(Page 65)

A la morte des jeunes années dont le départ consterna pour la première fois l’imagination de l’enfant et lui communiqua peut-être la prescience de teintes funèbres