Page:Poe - Les Poèmes d’Edgar Poe, trad. Mallarmé, 1888.djvu/197

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notes qui partent du gosier mélancolique des cloches, cloches, cloches ! des cloches !

ISRAFEL

(Page 87)

que suggéra ce passage du Coran : (Et l’Ange Israfel dont les fibres du cœur sont un luth et qui a la voix la plus suave de toutes les créatures de Dieu).