Page:Poe - Les Poèmes d’Edgar Poe, trad. Mallarmé, 1888.djvu/52

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Maintenant le Doute — maintenant la Peine, ne reviennent pas, car mon âme me donne soupir pour soupir ; et, tout le long du jour, luit, brillante et forte, Astarté dans le ciel, pendant que toujours sur elle la chère Eulalie lève son œil de jeune femme — pendant que toujours sur elle la jeune Eulalie lève les violettes de son œil.