Page:Poe - Les Poèmes d’Edgar Poe, trad. Mallarmé, 1889.djvu/203

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SCOLIES

comparable beauté du manuscrit que l’envoi de Poe dut tout d’abord d’attirer l’attention des juges, deux prix lui furent décernés, l’un pour la Barrique d’Amontillado, l’autre pour cette solennelle invocation aux ruines de la Cité.

Fleurit l’euphonique sonnet italien, appelant une illustration de Keepsake, à Zante.

Rien ne clora notre commentaire des poèmes traduits, mieux que l’énumération des quelques pièces qui, pour des motifs exprimés plus haut, n’ont point ici trouvé place.

Je procède, aidé encore une fois par mon ami J. H. Ingram, qui a recueilli, en le tome IV de sa superbe édition, l’ensemble le plus complet qui se soit jamais montré des poésies d’Edgard Poe :

Hymne Hymn.
Une Valentine A Valentine.
Énigme An Enigma
Visite des morts Visit of the dead.
Étoile du Soir Evening Star.
Imitation Imitation
À … To …
(The bowers whereat, in dreams, I see.)
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