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Page:Poggio - Les facéties (trad. de Brandes).djvu/528

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TABLE DES MATIÈRES

CXLVIII. — A propos du vol d’un porc 192

CXLIX. — Bon mot de Fascino Cane 193

CL. — D’un jeune homme inexpérimenté qui ne connut point sa femme la première nuit de ses noces…, 194

CLI. — Singulière raison d’un berger 195

CLII. — Le paysan et les ânes chargés do froment… 196

CLIIL — D’un pauvre et d’un riche 197

CLIV. — D’un montagnard qui voulait épouser unejeune fille 198

CLV. — La dîme 199

CLVL — D’un médecin qui viola la femme malade d’un tailleur 201

CLVII. — D’un Florentin (lancé à la fille d’une veuve 202

CLVlII. — D’un usurier de Vicence 204

CLIX. — Histoire très plaisante du cuisinier Giannino. 205

CLX, — Du cavalier vénitien qui portait ses éperons dans sa poche 206

CLXL — D’un vénitien slupide qui fut roulé par un charlatan 207

CLXIL — Un cheval récalcitrant 20.S

CLXIIL — Le renard et le paysan 201J

CLXIV. — Bonne foi d’un acheteur 211

CLXV. — Bouffonnerie de Gonnella 211

CLXVL — Autre plaisanterie de Gonnella 212

CLXVIL — l*rodiges racontés au pape Eugène 213

CLXVIIL — Autres faits prodigieux 214

CLXIX. — A propos d’un notaire malhonnête de Florence. 216

CLXX. — D’un moine qui bouta à travers une planche. 217

CLXXI. — Horrible histoire d’un jeune garçon anthropophage 219

CLXXII. — D’un chevalier Florentin qui, feignant do sortir se cacha secrètement dans la chambre de sa femme. 220

CLXXIIL — D’un chaste qui n’était que paillard… 221

CLXXIV. — Même sujet 222

CLXXV. — D’un pauvre homme qui gagnait t^a vie avec sa barque 223

CLXXVI. — Sottise d’un milanais qui avait écrit sa confession 225

CLXXVII. — Jactance d’un individu confondue par son compagnon 226

CLXXVIX. — Un mot de Pasquino de Sienne sur un pet du corps de l’Etat 228

CLXXLX. — De cet âne de docteur, si idiot qu’il parlait latin à la chasse aux oiseaux 228

CLXXX. — Ce qu’une femme prit pour un compliment. 230