Livre:Poggio - Les facéties (trad. de Brandes).djvu
Titre | Les facéties |
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Auteur | Poggio Bracciolini |
Traducteur | Pierre des Brandes |
Maison d’édition | Garnier |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1900 |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
LXXXIII. — Du chanteur qui déclara qu’il déclamerait la « Mort d’Heclor » 112
Appendice 124
LXXXIV. — Delà femme qui fit celle qui était à moitié morte 113
LXXXV. — Bonne plaisanterie d’un chevalier florentin. 114
LXXXVI. — Du chevalier qui avait une femme trop bavarde. 115
LXXXVII. — D’un charlatan qui soignait les ânes 116
Appendice 426
LXXXVIII. — Réponse de Pierre de Eghis 118
LXXXIX. — D’un rebouteux 119
Appendice 427
XC. — Plaisanterie sur un cavalier vénitien qui ne reconnaissait pas son cheval 120
XCI. — Propos de Carlo de Bologne 122
XCII. — Le vieil usurier et son ami 123
XGIII. — De la ribaude devenue mendiante 123
XCIV. — D’un docteur et d’un ignorant 124
XCV. — Mot de l’Evêque d’Aleth 12G
XCVI. — Mot plaisant d’un abbé 127
XGVII. — Mot plaisant 128
XGVIII. — Evénements extraordinaires racontés par mon copiste 128
XGIX. — Miraculeuse punition du mépris des saints.. 129
C. — Plaisante histoire d’un vieillard qui porta son âne. 131
CI. — Grande ignorance d’un homme 133
CII. — Autre balourdise 134
CIII. — D’un vieillard barbu 135
CIV. — Le notaire ignorant 136
CV. — D’un docteur florentin 137
CVI. — D’un homme qui coucha avec le diable sous la forme d’une femme 139
CVII. — Autre histoire contée par Angelotto 140
CVIII. — D’un avocat qui avait reçu des figues et des pêches de son client 141
CIX. — Ruse d’un médecin 142
CX. — Du juge qui prétend que les deux parties ont gagné. 144
CXI. — D’un médecin ignorant qui, à l’examen des urines d’une femme, diagnostiqua qu’elle avait besoin d’un mari 146
CXII. — D’un mari qui pareillement rendit la santé à sa femme 147
Appendice 428
CXIII. — Homme illettré demandant à l’archevêque de Milan la dignité d’archiprêtre 149 CXIV. — D’une courtisane qui se piaignait de la méchante farce d’un barbier 150
CXV. — D’un religieux auquel se confessait une veuve. 151
CXVI. — D’un homme qui fit le mort devant sa femme. 152
CXVII. — D’une jeune femme par trop naïve de Bologne. 154
CXVIII. — Réponse d’un confesseur à propos d’une femme. 155
CXIX. — D’un serviteur oublieux qu’on charge d’un poids énorme 157
CXX. — D’un homme qui veut dépenser mille florins pour se faire connaître, et de la réponse qu’on lui fait.. 158
CXXI. — Plaisanterie de l’illustre Dante 159
CXXII. — De la femme qui accoucha au bout de douze mois 160
CXXIII. — Question inconvenante d’un prêtre 161
CXXIV. — Plaisanterie au sujet d’un ambassadeur de Pérouse 162
CXXV. — Les ambassadeurs de Pérouse et le pape Urbain 163
CXXVI. — Propos insensés des Ambassadeurs de Florence. 164
CXXVII. — Mot plaisant de Jean-Pierre de Sienne… 166
CXXVIII. — D’un mari qui avait fait faire à sa femme une toilette d’un grand prix 167
CXXIX. — Plaisant récit d’un médecin 168
CXXX. — De l’homme qui trouva de l’or en dormant… 169
CXXXI. — D’un secrétaire de l’Empereur Frédéric II.. 170
CXXXII. — D’un juif mangé par un Florentin 172
CXXXIII. — Vision de François Philelphe 173
CXXXIV. — D’un buveur 175 Appendice 428, 429
CXXXV. — Facétie d’Everardo Lupi 176
CXXXVI. — Plaisanterie d’un autre cardinal 177
CXXXVII. — D’une femme qui découvrit son cul en voulant se couvrir la tète 178
CXXXVIII. — Histoire d’un homme qui avait envoyé des lettres à sa femme et à un négociant 179
CXXXIX. — Histoire d’un homme qui grondait souvent sa femme 181
CXL. — Testament d’un vieillard en faveur d’une femme. 182
CXLI. — De la femme qui demande remède à un prêtre. 183
CXLII. — D’un ermite qui séduisit beaucoup de femmes. 185
CXLIII. — D’un jeune florentin surpris avec sa belle-mère. 187
CXLIV. — A propos d’un portrait de Saint-François… 188
CXLV. — D’un prêtre de Florence qui était allé en Hongrie 189
CXLVI. — Réponso d’un paysan à son propriétaire 190
CXLVII. — Ridicule allocution 191 CXLVIII. — A propos du vol d’un porc 192
CXLIX. — Bon mot de Fascino Cane 193
CL. — D’un jeune homme inexpérimenté qui ne connut point sa femme la première nuit de ses noces…, 194
CLI. — Singulière raison d’un berger 195
CLII. — Le paysan et les ânes chargés do froment… 196
CLIIL — D’un pauvre et d’un riche 197
CLIV. — D’un montagnard qui voulait épouser unejeune fille 198
CLV. — La dîme 199
CLVL — D’un médecin qui viola la femme malade d’un tailleur 201
CLVII. — D’un Florentin (lancé à la fille d’une veuve 202
CLVlII. — D’un usurier de Vicence 204
CLIX. — Histoire très plaisante du cuisinier Giannino. 205
CLX, — Du cavalier vénitien qui portait ses éperons dans sa poche 206
CLXL — D’un vénitien slupide qui fut roulé par un charlatan 207
CLXIL — Un cheval récalcitrant 20.S
CLXIIL — Le renard et le paysan 201J
CLXIV. — Bonne foi d’un acheteur 211
CLXV. — Bouffonnerie de Gonnella 211
CLXVL — Autre plaisanterie de Gonnella 212
CLXVIL — l*rodiges racontés au pape Eugène 213
CLXVIIL — Autres faits prodigieux 214
CLXIX. — A propos d’un notaire malhonnête de Florence. 216
CLXX. — D’un moine qui bouta à travers une planche. 217
CLXXI. — Horrible histoire d’un jeune garçon anthropophage 219
CLXXII. — D’un chevalier Florentin qui, feignant do sortir se cacha secrètement dans la chambre de sa femme. 220
CLXXIIL — D’un chaste qui n’était que paillard… 221
CLXXIV. — Même sujet 222
CLXXV. — D’un pauvre homme qui gagnait t^a vie avec sa barque 223
CLXXVI. — Sottise d’un milanais qui avait écrit sa confession 225
CLXXVII. — Jactance d’un individu confondue par son compagnon 226
CLXXVIX. — Un mot de Pasquino de Sienne sur un pet du corps de l’Etat 228
CLXXLX. — De cet âne de docteur, si idiot qu’il parlait latin à la chasse aux oiseaux 228
CLXXX. — Ce qu’une femme prit pour un compliment. 230
CCXII. — L’apprenti savetier et lu femme de son patron. 264
CCXIII. — Plaisante histoire d’une jeune femme qui faisait des pets 264
Appendice 433
CCXIV. — Dire et faire 266
CCXV. — D’un Egyptien qu’on cherchait à convertir… 266
CCXVI. — De l’évêque espagnol qui mangea des poissons en guise de perdreaux 267
CCXVII. — D’un fou qui, dormant avec l’Archevêque de Cologne déclara que celui-ci était un quadrupède 268
CCXVIII. — Plaisanterie du pape Martin à un ambassadeur importun 269
CCXIX. — A propos du cardinal Angclotto 270
CCXX. — Puissance d’un cadeau 270
CCXXI. — Singulière excuse d’une femme stérile… 271
CCXXII. — En flagrant délit 273
CCXXIII. — D’un frère mineur (pu fit le nez à un enfant. 274 Appendice 435
CCXXIV. — D’un Elorenlin très menteur 276
CCXXV. — Comment un jaloux éprouva la vertu de sa femme 277
CCXXVI. — Réponse aux paroles d’un prêtre…… 278
CCXXVII. — D’un prêtre qui se trompa en prêchant 278
CCXXVIII. — Sage réponse du cardinal d’Avignon au roi de France 280
CCXXIX. — Terrible aventure arrivée à Saint-Jean-de-Latran 281
CCXXX. — D’un prédicateur qui criait bien fort 282
CCXXXI. — D’une jeune femme qui fut jouée par son vieux mari 284
CCXXXII. — Les culottes d’un frère-mineur devenues reliques 285
CCXXXIII. — Le talisman contre la peste 288
CCXXXIV. — Bouche qu’on aurait du tenir fermée… 290
CCXXXV. — Moyen de se procurer un ciieval parfait 290
CCXXXVI. — Mot plaisant dans une querelle de femmes. 291
CCXXXVII. — D’un prêtre qui se joua d’un laïc qui voulait le surprendre 292
Appendice 436, 437
CCXXXVIII. — Aventure extraordinaire d’un foulon anglais avec sa femme 293
CCXXXIX. — Une confession à la façon toscane ; d’abord, puis sans fard 295
CCXL. — Combat entre des pies et des geais. 237
CCXLL — Bon mot de Francisco sur les fils des Génois. 297 CCXLII. — Geste significatif, mais grossier d’un Florentin 298
CCXLIII. — Drôle de demande d’un vieillard impuissant. 299
CCXLIV. — Amusante moquerie des Vénitiens par une courtisane 301
CCXLV. — D’un ignorant qui confondit des savants… 302
CCXLVI. — Réponse maligne à un marchand qui accusait les autres de folie 302
CCXLVII. — Réponse d’une femme à un jeune homme éperdumcnt amoureux d’elle 303
CCXLVIII. — Contre les vantards 304
CCXLIX. — D’un homme qui demeura deux ans sans boire ni manger 306
CCL. — D’un àne qu’on devait instruire 308 Appendice 437, 438
CCLI. — A propos d’un prêtre ignorant 309
CCLII. — D’un usurier converti 310
CCLIII. — Fable des oiseaux parleurs 311
CCLIV. — La manie des chaînes 311
CCLV. — Mot plaisant de Ridolfo de Camerino 312
CCLVI. — Le vase d’huile renversé 31
CCLVII. — Des jeunes QUes qui se moquent d’un chauve. 314
CCLVIII. — Maître Perd-les-Causes 315
CCLIX. — D’une chanson qui plut aux aubergistes… 316
CCLX. — A propos d’un homme maigre 317
CCLXI. — Amusante réponse d’une femme dont l’encrier était vide 318 Appendice 439
CCLXII. — Sur le petit nombre dos amis de Dieu 318
CCLXIII. — Le moine quêteur, le laïque et le loup… 319
CCLXIV. — Compensation 320
CCLXV. — Mots pleins de sel de deux jeunes Florentins. 322
CCLXVI. — D’un jeune homme qui pissa sur la table.. 322
CCLVII. — A propos d’une Florentine prise en flagrant délit 324
CCLXVIII. — Le mort qui parle 325
Appendice 440
CCLXIX. — Un problème embarrassant 327
CCLXX. — D’un meunier trompé par sa femme qui lui donna cinq œufs à manger 328
CCLXXI. — Délie façon de nier la beauté 330
CCLXXII. — Réponse plaisante, mais peu honnête, d’une femme 330
Appendice —. 412, 414
CCLXXIII. — Tout ce qui branle ne tombe pas 332
Conclusion 332
Note préliminaire 337
Description des Bains de Bade 354
Note préliminaire 371
Pogge florentin an Très Magnifique Cosme de Médicis 373
Un vieillard doit-il se marier ? 375
Mémoire sur les ouvrages de Pogge (Extrait des Mémoires Littéraires de Salengre) 401
Appendices aux Facéties 419
Index 457