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Page:Poitras - Refrains de jeunesse, 1894.djvu/94

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INDISCRÉTION


Le ciel était serein, le soir,
Où je cueillis dans ton œil noir,
La douce flamme
De ta chère âme.

Nous étions seuls sous les ormeaux
Qui tendent leurs touffus rameaux
Pleins de murmures
Sur l’onde pure.