Page:Poitras - Refrains de jeunesse, 1894.djvu/96

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Tu n’osas point la repousser,
Et tu souffris même un baiser
Dont la ramure
Sut le murmure.

Tu rougis un peu, j’en conviens,
Voilà pourquoi je n’eus les tiens…
Merci de même,
Vois-tu, je t’aime !

Il est bien loin déjà ce jour !
Mais mon âme en garde l’amour ;
Et ma chérie,
Ma rêverie,