Page:Poitras - Refrains de jeunesse, 1894.djvu/97

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Souvent sous les ormeaux, le soir,
Suspend son vol et va s’asseoir.
Mais tout s’efface,
Même ta trace !

Tu n’es plus là ! seuls les oiseaux
Et le gazouillement des eaux
Rappellent l’heure
Qu’hélas ! je pleure !


Juin 1889.