Page:Polonius - Poésies, 1827.djvu/111

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Rêverie



 
Le poète est semblable à la vague agitée,
Tantôt touchant les cieux, tantôt précipitée
        Au plus profond des mers ;
Sombre ou gai tour à tour, il court de songe en songe
Un souffle le relève, un autre le replonge
        Dans les dégoûts amers.