Page:Polonius - Poésies, 1827.djvu/24

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Ne serez-vous qu’un pâle éclair,
Qui naît, qui brille, et s’évapore ?
Ah ! reprends ton baiser cruel,
Ou couvre-le d’autres sans nombre !
Ne m’as-tu fait rêver le ciel
Que pour me replonger dans l’ombre ?