Page:Ponchon - La Muse au cabaret, 1920.djvu/310

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



Puis, tôt après, tu pris un bain
Dans la piscine à Saint Lubin,
Dont tu sortis fier et rupin.

Saint Méen guérit tes névroses.
Humeurs noires, vertes chloroses.
Hubert te fit un teint de roses.

Pour le reste… il est bien certain,
Que tu dois à Saint Livertin
Une chandelle, ô libertin !

Quant à ce brave Saint Harniaule,
Il dit, en te touchant l’épaule :
« Surtout n’y reviens pas, mon drôle ! »