Page:Ponchon - La Muse gaillarde.djvu/126

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.



LES FEMMES ET LE PRINTEMPS


Il paraîtrait que le Printemps,
Si l’on en croit l’Histoire,
Était jadis des plus constants,
Fatal, obligatoire.

C’était un héros gracieux,
Chanté par nos grands-pères,
Et sous ses pas délicieux
Naissaient les primevères.