Page:Ponchon - La Muse gaillarde.djvu/176

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À peine est-il à bord de la tartane :
« Adieu, ma sultane,
Adieu mes amours !
Dit-il. Avec toi, sans compter le reste,
J’eusse, sans conteste,
Passé d’heureux jours ;

« Mais, notre Provence est tellement belle,
Que je ne vois qu’elle
Au monde. Pour moi,
Pour me retrouver sur ses blanches routes,
Je donnerais toutes
Les filles de roi. »