Page:Ponchon - La Muse gaillarde.djvu/295

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Écoutez son parler charmant,
Déjà, mes oreilles, il jase ;
Mes yeux, voyez ce diamant
Qui luit à son flanc de topaze.

Est-il plus suave parfum,
Où trouver un regard plus tendre ?
Mais, cher prince, pardonnez, un
Peu plus je vous faisais attendre.