Page:Ponchon - La Muse gaillarde.djvu/96

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Cette culotte aux zouaves,
Et dans un maillot collant
Montrez vos formes suaves,
Ce sera bien plus galant.

Montrez vos lignes parfaites…
Que diable, nos pauvres yeux
N’ont déjà pas tant de fêtes
Sous la culotte des cieux…

(Pardon !) Loin d’être prodigues
De votre corps argenté,
Vous ne sortez que vos gigues :
C’est peu pour notre santé.

Pour paraître ainsi vêtues
Je suppose, en résumé,
Que vous êtes mal foutues
Jusqu’à plus ample informé.