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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/43

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— Je n’ai pas besoin de votre fusil, dit-il. Je resterai dans l’autre chambre.

Le Bouquin lui ouvrit la porte.

Mais Michelin se baissa et ramassa le coffre d’argent.

— Qu’est-ce que cela ? fit Brulé.

— Ça, dit Michelin, vous n’y toucherez pas !

Et il entra dans cette pièce qui servait de cabinet de toilette, emportant le coffre qui renfermait les papiers de madame Solérol.