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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/44

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Alors Brulé dit à sa fille avec douceur :

— Il faut que tu parles, et que tu me dises la vérité, petite.

— Sur quoi ? fit la Lucrétia.

— Tu as connu Solérol à Paris ?

— Oh ! ne me parlez pas de cet homme, fit la Lucrétia en tressaillant.

— Réponds oui ou non ?

— Oui.

— Tu as été sa maîtresse ?