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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/65

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— Non, je dors ; bonsoir ! est ce que tu as peur d’y aller tout seul ?

— Oh ! non, hurla le chef de brigade au comble de la férocité et de l’ivresse.

— Eh bien ! va ! et laisse-moi dormir…

Sur ces mots, Scœvola reprit sa position horizontale et referma les yeux.

Exalté par l’ivresse, surexcité par le rêve qu’il venait de faire, le chef de brigade sortit de la salle à manger.

Il avait le coutelas à la main.