Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/66

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Il s’en alla battant les murs jusqu’au grand escalier, monta jusqu’au premier étage et s’engagea dans le corridor.

Mais, tout à coup, il s’arrêta frissonnant.

Un rayon de lune qui passait par une fenêtre éclairait une partie du corridor, et dans ce rayon lumineux, Solérol avait cru voir glisser une forme blanche…

Une femme !

Il s’arrêta la sueur au front, les cheveux