Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/68

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

capitaine qui se plaignait souvent, la nuit, ne faisait entendre aucun gémissement.

— J’aime mieux ça, pensa Solérol. Il dort. Je vais entrer sur la pointe du pied… je l’entortillerai dans la courtine du lit, pour qu’il ne puisse pas résister, et puis je frapperai… je frapperai… jusqu’à ce qu’il ne dise plus rien.

Réfléchissant ainsi, il ouvrit la porte.

Le capitaine ne bougeait pas. Une faible clarté, celle d’une veilleuse placée derrière