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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/69

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le lit, permit à Solérol de voir que Bernier dormait.

Il s’approcha du lit sur la pointe du pied, et son bras armé du coutelas.

Mais comme ce bras allait retomber, un poignet de fer le saisit, et, se retournant, Solérol jeta un cri d’épouvante et tomba à la renverse.

— La Lucrétia ! murmura-t-il.