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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/77

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— Nous avons trop bu.

— C’est notre habitude. Et puis encore ?

— Ma foi ! je n’en sais rien. Je me suis éveillé, ce matin, couché sous la table. Le froid m’avait pris, je suis allé me mettre au lit.

— Mais… qu’ai-je fait ?

— Toi, dit Scœvola qui se souvint peu à peu, il me semble que tu t’es éveillé en parlant de la Lucrétia.

— Ah !

— Et que tu as voulu tuer le capitaine.