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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/78

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— C’est vrai, ça ; et je me suis levé en boitant, reprit Solérol, et j’ai pris un couteau sur la table.

— Eh bien ! après, qu’as-tu fait ?… car, moi, je me suis endormi.

— Voilà précisément ce que je ne sais pas bien.

— Comment cela ?

— Il me semble que je suis allé chez le capitaine et que j’ai levé sur lui mon couteau mais on m’a saisi le bras.

— Qui donc ?