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Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome III.djvu/9

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— Papa, dit-il, vous perdez un peu la tête.

— Comment ça ?

— Il faut au contraire soigner le capitaine.

— Bon ! et puis ?…

— Le préserver du Solérol et le guérir. Après…

— Après ?… fit Brulé.

— Après, il épousera la Lucrèce.

Le fermier n’avait point songé à cette combinaison.