Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/141

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— Vous venez de Clamecy ?

— Oui, citoyen.

— Comment se fait-il que le commandement des forces militaires de ce pays-là, se trouve dans les mains d’un fonctionnaire civil ?

Un sourire un peu dédaigneux vint aux lèvres du sous-lieutenant.

— Citoyen directeur, dit-il, daignerez-vous me pardonner, si je m’exprime en toute franchise.

— Je vous ordonne de le faire,