Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/173

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— Ah ! pour celle-là, dit Machefer, dont le front se couvrit d’un nuage, je te demande grâce…

Barras tressaillit.

— Tu la connais aussi bien que moi, c’est mademoiselle Lange.

— Ah ! la malheureuse ! fit Barras avec émotion.

— Et je te demande grâce pour elle.

Barras regarda Machefer avec tristesse et murmura :

— Elle t’aime donc bien ?