Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/174

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Oui, dit Machefer, et je l’aime tant aussi, qu’à de certaines heures le sentiment du devoir s’émousse en moi, et je songe à vivre.

Barras prit Machefer par la main :

— Va-t’en, dit-il, et sauvez-vous !… Le directeur ne saura rien de ce que tu as dit à Barras.

Machefer voulut parler encore ; mais Barras le prit par les épaules et le poussa dehors.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .