Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/266

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rôtirons comme des poulets tous ces beaux gentilshommes.

Curtius semblait hésiter encore.

— Voyons, dit Brulé d’un ton railleur, allez-vous pas vous tourmenter maintenant à cause de votre ami Solérol ? C’est un malheur et vous n’y pouvez rien.

— Oh ! ce n’est pas cela, dit Curtius.

— Qu’est-ce donc ?

— Je n’ose prendre sur moi d’incendier une forêt de l’État.

— Eh bien ! dit Brulé, écrivez au direc-