Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/267

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teur Barras, dites-lui que vous avez pris le commandement militaire depuis que Solérol est prisonnier.

— Et s’il refuse…

— Eh bien ! nous verrons !…

— En attendant, dit Curtius, je vais brûler ce moulin. L’État n’a rien à y voir, c’est une propriété particulière.

Deux heures après, le citoyen Curtius rédigeait cette magnifique lettre que le citoyen Barras recevait quarante-huit heures