Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/294

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Comment apprécierait-on son audace à Paris ?

Serait-il blâmé ou félicité d’avoir osé se mettre à la tête des troupes privées de leur général.

Était-il en train de devenir ministre, ou bien d’être à jamais mis de côté ?

Ces deux questions plongeaient Curtius dans l’anxiété, et lui donnaient des battements de cœur.

Il s’était fait servir à souper, mais l’appétit lui avait manqué. Par exemple, il avait bu.