Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/295

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Curlius avait toujours soif, Curtius buvait toujours.

Son aide de camp entra.

Car le citoyen Curtius, en s’improvisant général, s’était donné le luxe d’un aide de camp.

Il avait pris un jeune capitaine, à qui il avait fait espérer un sabre d’honneur, comme récompense de ses services.

À la vue de l’officier, Curtius tressaillit.

— Le sous-lieutenant est-il arrivé ? demanda-t-il avec vivacité.