Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/303

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— C’est fâcheux que tu ne puisses pas venir avec moi.

— Pourquoi ?

— Tu aurais vu la dernière grimace de Solérol.

Et sur cette hideuse plaisanterie, Brulé donna une poignée de main à Curtius et s’en alla.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Une heure après, Brulé se glissait à travers les broussailles jusqu’à la petite vallée où était établi le camp des royalistes.