Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/304

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La nuit était sombre ; mais au-dessus des bois il y avait une lueur rougeâtre.

En même temps, un murmure sourd, étrange, s’élevait de la profondeur du vallon.

— Ça chauffe ! murmura le fermier. Pourvu que je n’arrive pas trop tard.

Et il doubla le pas.

À mesure qu’il approchait, la lune grandissait, et le murmure devenait plus strident.

Brulé arriva aux pieds des rochers qui