Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/307

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Brulé entendit alors des hurlements.

C’était Solérol, qui se débattait aux mains de deux hommes vigoureux qui l’entraînaient.

Un éclair de joie féroce brilla dans les yeux du père Brulé, quand il vit qu’on hissait Solérol sur l’échafaud.

Car Solérol hurlait toujours, et refusait de marcher.

— Ah ! tu as voulu déshonorer ma femme, murmura le féroce paysan.

Et son œil avide suivit toutes les opérations de ce hideux spectacle.

Il vit le bourreau coucher Solérol sur la planche et lui lier les mains.