Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/308

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Et les hurlements du condamné lui arrivaient à l’oreille plus mélodieux que la plus douce des musiques.

Brulé jouissait de sa vengeance. Il la savourait avec une âpre volupté.

Tout à coup le reflet des torches se brisa sur une surface luisante et polie.

On eût dit un éclair.

Et les hurlements de Solérol s’éteignirent. Et Brulé n’entendit plus que ce murmure de la foule qui vient de voir tomber une tête.

Tout était fini pour le chef de brigade Solérol.

Tout, excepté la justice de Dieu qui commençait.