Aller au contenu

Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/313

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Brulé jeta un cri et chercha à faire usage de son fusil.

Mais on le lui arracha des mains.

— Ah ! brigand ! lui dit une voix, il y a longtemps que je te connais, moi… et quand j’ai dit qu’il fallait se méfier de toi, on n’a pas voulu me croire.

— Jacomet ! murmura Brulé, gagné par l’épouvante.

Mais le bûcheron l’avait déjà renversé sous lui, et lui appuyait son genou sur la poitrine.