Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/312

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mais le bruit avait cessé comme il s’arrêtait.

— C’est le vent qui chasse les feuilles, pensa-t-il.

Et il reprit sa course.

Le même bruit de pas se fit entendre de nouveau.

Alors la peur le prit.

— Qui est là ? demanda-t-il d’une voix étranglée.

En même temps, il arma son fusil.

Nul ne lui répondit mais deux bras nerveux l’enlacèrent par derrière.