Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/79

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— Non, et tu en sais plus long que tu ne dis.

— C’est possible.

— Il y a de l’argent au château.

— Ça, c’est sûr.

— Et tu sais où il est.

— Tant mieux pour moi.

— Mais je veux le savoir aussi, moi, dit le père Brulé avec colère.

— Et c’est pour cela que vous voulez me tuer ?

— Je te tuerai si tu ne parles pas.