Page:Ponson du Terrail - La Bouquetière de Tivoli, tome V.djvu/80

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— Ça sera une raison pour ne rien savoir, vu que les morts ne parlent pas.

Le sang-froid de Bouquin exaspéra Brulé.

— Mais malheureux, dit-il, tu veux donc me forcer à tuer mon fils ?

— Non, je parlerai.

— Ah ! enfin, dit Brulé qui abaissa le canon de son fusil.

Le Bouquin reprit :

— Le chef de brigade a quelque part un petit coffre de fer.